Si le discours sur le séparatisme islamique du président de la République, par son diagnostic, a donné l’impression d’une prise de conscience de la menace dont il a stigmatisé et dénoncé les manifestations, il est cependant désespérant et consternant de constater les conclusions qu’il en tire et les remèdes inadaptés qu’il préconise. Ses propositions révèlent chez lui, en effet, non seulement une grave méconnaissance de l’islam, mais un reniement absolu de la patrie qui est consubstantiel à cette idéologie mondialiste et progressiste prônée par l’oligarchie financière apatride dont il est le parfait représentant. Le drame qui vient de frapper la France avec ce professeur qui a perdu la vie dans des conditions atroces et barbares témoigne du décalage abyssal entre la réalité de la menace et les solutions avancées.
Au préalable, deux observations doivent être formulées. La première porte sur le choix du terme « séparatisme » qui constitue un aveu d’échec pour nos dirigeants puisqu’il marque une totale détermination chez ceux à qui il s’applique à refuser le vivre-ensemble et à vouloir donc se séparer. La seconde concerne l’absence de lucidité ou de réalisme et le manque de courage du Chef de l’Etat pour nommer les choses : il parle de séparatisme islamiste au lieu de séparatisme islamique pour ne pas parler de communautarisme, conséquence de l’islamisation du pays elle-même conséquence d’une immigration maghrébine et africaine débridée et délirante. A aucun moment il n’a évoqué cette immigration massive, le cœur du sujet, dont il faut noter l’hostilité à notre égard et qui continuera d’alimenter, si elle n’est pas stoppée, l’islamisation du pays et le martyre programmé pour la France.
Par ailleurs, il faut rappeler une réalité probablement désagréable à entendre mais qui est essentielle car elle révèle l’incompatibilité de cette immigration avec notre civilisation, notre culture, nos traditions, nos modes de vie, nos valeurs que précisément elle refuse. Il n’est tout de même pas difficile de comprendre – l’actualité quotidienne nous le démontre – que sous les coups de boutoir d’une radicalisation des esprits d’une partie de plus en plus importante de cette immigration nous courrons au-devant de lendemains douloureux car sa culture n’est pas celle de notre conception chrétienne de la liberté, de la dignité et du respect de la personne humaine et de la distinction des pouvoirs ; des valeurs universelles léguées par notre civilisation gréco-romaine et chrétienne, celles de nos racines : Athènes, Rome et Jérusalem. Cette immigration aurait dû réaliser et prendre conscience que la misère dans laquelle elle vivait avant de rejoindre notre pays est la conséquence de sa culture fermée à la connaissance, au progrès et à l’émancipation. Elle aurait dû en tirer les conséquences, c’est à dire adhérer pleinement à la société qui l’a accueillie et qui lui a offert des conditions de vie décentes pour donner à ses enfants des perspectives de réussite dans une nouvelle culture. Malheureusement si cette démarche est envisageable pour des individus, elle ne l’est pas pour des peuples.
Cette démarche est d’autant moins concevable que cette immigration de masse – sujet central mais que le président de la République n’évoque pourtant à aucun moment – est non seulement incompatible avec nos valeurs mais hostile à notre culture. Par ailleurs, cette hostilité ne cesse de croître depuis au moins l’attentat de Charlie Hebdo et ne concerne pas seulement des jeunes issus de l’immigration mais leurs parents car ils sont éduqués dans leurs familles dans la haine de la France et des Français. L’horrible disparition de ce professeur due à ce qu’on peut qualifier de véritable appel au meurtre lancé par ces familles illustre parfaitement cette réalité. Ne pas dénoncer cet embrigadement et ne pas reconnaître l’existence de ce djihad aveugle et barbare sur notre propre sol proclamé et appliqué par la stratégie terroriste édictée par l’Etat islamique et ne pas en tirer les conséquences est coupable et criminel. Des agressions violentes de toutes sortes y compris au couteau avec la volonté de tuer, des meurtres ou des assassinats à caractère raciste et anti-français destinés à terroriser la population sont, en effet, quotidiens. Mais, le Chef de l’Etat – est-ce de l’inconscience, de la naïveté ou au contraire du cynisme – est prêt à passer un pacte avec le diable pour installer un « islam de France », un islam des Lumières ! Mais ce n’est pas le rôle de l’Etat d’organiser un culte qui, de plus, véhicule une culture de mort à l’égard des incroyants et de tous ceux qui ne sont pas musulmans et qui, de surcroît, affirme la primauté de la loi coranique sur la loi de la République. Le président se fourvoie gravement en pensant que l’islamisme est le dévoiement de l’islam alors qu’il en est sa mise en action.
Le drame horrible qui vient de frapper la France avec l’odieux assassinat dans des conditions atroces et barbares de ce professeur d’histoire en est la démonstration. Quant à l’islam des Lumières, c’est une vaste plaisanterie, une ineptie contraire à la nature profonde de cette idéologie totalitaire et conquérante. Il faut bien être conscient que les populations islamiques ne se fondront jamais dans la communauté nationale car cela signifierait l’abandon de la loi islamique, la charia, ce qui est exclu pour elles.
Alors, non Monsieur le Président, l’islam n’est pas compatible avec la démocratie, avec les valeurs que porte la France et c’est simple à démontrer : en démocratie, c’est l’homme qui fait la loi. En islam, c’est Dieu qui a fait la loi et il n’est pas permis à l’homme de la changer car elle est définitivement inscrite dans le Coran. C’est pourquoi vous n’obtiendrez jamais une réforme de l’islam. Pour comprendre cette guerre qui est menée sur notre propre sol contre ce que représente la France et que vous vous obstinez à ignorer, il faut aller à la racine du mal, c’est à dire dans les textes fondateurs de l’islam et notamment dans le Coran – incompatible avec notre Constitution – qui appelle au meurtre des infidèles, institutionnalise l’infériorité de la femme et refuse la séparation du spirituel et du temporel. Le discours tenu par ceux avec qui vous voulez pactiser n’est donc que manipulation, enfumage et mensonge. En vous focalisant sur les symptômes et non sur les causes et en en tirant des conclusions erronées conduisant à des mesures contraires au bien commun et à l’intérêt de la nation vous ne faîtes qu’aggraver les choses. Et lorsque confronté à la réalité avec la mort de ce professeur vous déclarez : « ils ne passeront pas », vous êtes dans le déni car ils sont passés depuis longtemps, ils sont même dans la place. Il en est de même quand vous invoquez « notre histoire commune ». Vous êtes encore dans le déni car c’est précisément parce que notre histoire n’est pas commune que la cohabitation, que le vivre-ensemble avec ceux qui nous veulent du mal est impossible.
Devant l’évidence de la grande tragédie qui s’annonce, le Chef de l’Etat ne semble pas en avoir pris la mesure. Dans ma lettre ouverte du 13 mars 2018, je lui indiquais que sa prudence, comme celle manifestée par ses prédécesseurs sur certains thèmes comme l’immigration, résonnait, dans le rapport de forces engagé par l’islam et auquel il n’échapperait pas, comme un renoncement à affronter l’esprit totalitaire (https://volontaires-france.fr/lettre-ouverte-au-president-de-la-republique/). Nous y sommes à présent, il ne peut pas échapper à ce rapport de forces. Cela dit, les Français se trouvent placés aujourd’hui, malgré eux, dans une situation cornélienne : la soumission à son remplacement déjà engagé en raison de la lächeté de ses dirigeants démontrée depuis de nombreuses années, c’est à dire son suicide, ou le réveil, le sursaut en se mobilisant massivement pour refuser ce funeste horizon. La mort de la France ou sa résurrection. La résignation et l’acceptation de la guerre civile et ethnique ou le renvoi au pays, c’est à dire la remigration des prédateurs pour préserver la paix et l’unité du pays, une paix intenable dans le cas de la présence de deux civilisations antagonistes sur un même sol. Ce sera donc eux ou nous. L’Histoire est tragique et le destin d’une nation et d’un peuple ne peut pas s’affranchir à certains moments critiques de démolitions, de renversements ordonnés suivis de reconstructions et d’embellissements. Nous sommes dans ce moment critique aujourd’hui pour notre France fracturée, défigurée et martyrisée, à cette croisée des chemins où le choix de la voie à prendre est capital et exige de ne pas reculer car c’est de la survie même de notre nation, de notre civilisation dont il s’agit.
Alors, sauf à nier l’évidence, la démonstration de l’incompatibilité de l’islam avec la démocratie et avec nos valeurs et de l’impossibilité de la cohabitation de deux civilisations sur un même sol étant faite, il appartient à nos dirigeants politiques d’adopter et d’appliquer des mesures fortes pour éviter la libanisation du pays. Il faut donc stopper rapidement l’immigration de culture islamique, puis, en appliquant strictement les lois de la République, inverser le flux migratoire et se séparer de ceux dont la présence sur notre territoire est illégale et n’ont donc pas le droit de s’y maintenir et de ceux qui haïssent la France et les Français et qui sont invités ainsi à aller s’épanouir dans un pays de même culture.
Il serait donc suicidaire de poursuivre dans la voie préconisée par le Chef de l’Etat c’est à dire aider l’islam à se structurer dans notre pays. A-t-on déjà vu quelqu’un aider son ennemi à le détruire ? Il faut au contraire appliquer un principe de précaution pour empêcher cette idéologie mortifère, ce corpus politico-juridico-politique totalitaire qui veut notre mort de s’installer en France et tout faire pour le pousser vers la sortie. Une mosquée n’est pas un lieu de culte au sens communément admis, c’est un lieu où on prêche la charia, la loi islamique, totalement contraire à nos valeurs et qui appelle à combattre et à tuer les non-musulmans. La réponse à y apporter est donc claire si on veut être cohérent pour protéger la vie des Français et sauvegarder notre civilisation. Le président de la République voudrait, en outre, instaurer l’apprentissage de l’arabe à l’école. Pour combattre l’islamisme il faudrait donc plus d’islam ? C’est une pure folie car n’est-ce pas ainsi participer, collaborer, accélérer l’islamisation du pays pourtant contraire à l’intérêt de la nation française ? Enfin, on ne peut être que dubitatif sur l’emploi par le Chef de l’Etat de formules comme « faire aimer la République » ou « patriotisme républicain ». Comme toute la classe politique actuelle, il ne cesse de nous parler de république, de pacte républicain, de valeurs républicaines … Mais c’est la France qu’il faut faire aimer, c’est elle notre mère, c’est elle qu’il faut aimer plus que tout. Quant au patriotisme républicain, cela ne veut rien dire. Le patriotisme c’est le patriotisme, c’est ce qui ramène à la patrie, précisément à la mère patrie, c’est à dire à l’ensemble des biens que nous avons reçus de nos pères en héritage. Et la patrie établit un lien réel entre l’aspect spirituel et l’aspect matériel, c’est à dire entre la culture et le territoire. C’est la raison pour laquelle deux civilisations ne peuvent pas cohabiter paisiblement sur un même sol.
L’acte barbare dont a été victime ce professeur illustre parfaitement cette haine viscérale de la France et de ce qu’elle représente pour cette lèpre islamique tolérée, voire favorisée sur notre sol par la lâcheté et la compromission de trop nombreux dirigeants poitiques et d’élus. Après l’hommage rendu à cette victime innocente, après les déclarations incantatoires et les promesses, soyons lucides: les actes, comme à l’accoutumée, ne suivront pas. C’est donc au peuple français de s’exprimer pour refuser sa soumission et manifester en masse pour s’opposer à cette culture de mort qui n’a pas sa place sur notre sol. Mes grandes orientations pour la France (https://volontaires-france.fr/les-grandes-orientations-du-general-martinez/) présentées récemment contiennent des mesures fortes (pages 20 et 21) propres à s’y opposer et provoquer la rupture nécessaire. Il faut les appliquer. Demain, il sera trop tard.
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Général (2s) Antoine MARTINEZ
Candidat à la présidence de la République
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